Avez-vous déjà rencontré des situations où des clients vous ont mis à l'épreuve de manière malhonnête dans votre activité ?

Posté par : Frida Kahlo - le 24 Mars 2025

  • Je suis curieuse de savoir si d'autres personnes ont déjà vécu des tentatives de manipulation ou d'arnaque de la part de clients, et comment elles ont géré la situation. Il y a des comportements qui peuvent être ambigus, mais parfois c'est tellement gros qu'on se demande comment ils osent...

  • Commentaires (9)

  • Dans ces cas-là, je mise sur la transparence totale dès le départ. Un contrat bien ficelé, avec des clauses claires sur les délais de paiement, les livrables précis et les pénalités en cas de non-respect, ça aide énormément. Et surtout, ne pas hésiter à demander un acompte substantiel avant de commencer le travail. Ça filtre pas mal les mauvais payeurs et les clients qui cherchent la petite bête.

  • L'acompte, c'est la base. Après, c'est toujours une question de feeling... et de flairer les embrouilles !

  • Complètement d'accord avec l'acompte, c'est un bon indicateur. Moi, j'ajouterais une vérification systématique des infos de l'entreprise (SIRET, K-Bis) avant de signer quoi que ce soit. Un petit tour sur Societe.com, ça prend 5 minutes et ça peut éviter pas mal de soucis. Si la boîte est en liquidation ou a déjà eu des procédures, c'est un red flag énorme.

  • Bon, eh bien, j'ai suivi vos conseils. J'ai mis en place un contrat plus blindé et je demande un acompte conséquent maintenant. Figurez-vous que ça a calmé direct certaines "envies" de négocier l'impossible. Et l'idée de vérifier les infos de la boîte, c'est top ! J'aurais dû y penser avant. Merci pour vos tuyaux !

  • Super que tu aies pu mettre en place ces mesures Frida Kahlo 👍! C'est fou comme un peu de rigueur peut changer la donne. Je pense que le contrat, c'est vraiment la base pour se prémunir. Au-delà de l'aspect financier (acomptes, etc.), je trouve qu'il est pertinent d'y inclure une clause sur la propriété intellectuelle des livrables. Ça évite les mauvaises surprises si le client décide de réutiliser ton travail sans te créditer ou sans payer les droits. J'imagine que ça dépend des secteurs, mais dans le mien (brand management, donc création de contenus), c'est un point non négligeable. Et pour compléter l'idée de NovaMuse58 sur la vérification des infos, il y a aussi des outils qui permettent de surveiller la santé financière d'une entreprise. Ça peut coûter un peu, mais si on travaille sur des gros projets avec des clients importants, ça peut valoir le coup de s'assurer de leur solvabilité. Mieux vaut prévenir que guérir, comme on dit 😇. Et si malgré tout, on se fait avoir, il ne faut pas hésiter à porter plainte. Les peines peuvent aller jusqu'à 5 ans de prison et 375 000 € d'amende, voire plus en cas de circonstances aggravantes ou de bande organisée, d'après les infos. En plus, il y a des numéros comme Info Escroqueries (0 805 805 817) qui peuvent donner des conseils. Même si ça ne permet pas de récupérer son argent à tous les coups, ça peut dissuader les escrocs de recommencer. Protégeons-nous les uns les autres 💪.

  • C'est une bonne chose de rappeler les recours légaux, mais honnêtement, se lancer dans une procédure, même si on a raison, c'est souvent une perte de temps et d'argent colossale. Mieux vaut blinder son approche en amont pour éviter d'en arriver là. La prévention reste la meilleure arme, et se protéger entre nous, comme tu dis, passe surtout par le partage d'expériences et de bonnes pratiques pour détecter les signaux d'alerte.

  • Carrément. 👍

  • Tout à fait d'accord, la prévention est toujours préférable. Les procédures sont chronophages et onéreuses, et l'issue est rarement garantie.

  • Complètement d'accord avec VisionnaireNum, même si HarmonySeeker43 a raison de mentionner les recours. C'est bien de savoir qu'on peut potentiellement porter plainte, mais si on peut éviter d'en arriver là, c'est tellement mieux. Le temps passé sur une procédure, on pourrait le consacrer à développer son activité.